La ligne... Et les lignes noires!

Publié le par Jah'Zz

Hello les ami-e-s,
Hello les "autres",
...
Oui, oui, oui... Oui, ça va plutôt bien depuis quelques heures... C'est cool! Enfin... Oui, oui, oui, on peut dire ça comme ça...
Et vous, je l'espère aussi!?!
Rien de bien spécial aujourd'hui, et dans ces pages, sinon que de dire au-revoir à une amie... C'est le propos de ce billet!
Mais, avant tout, juste quelques mots vis à vis de Samedi dernier... Quelques mots dont un que je devrais mettre en majuscule :
MERCI!!!
Yes! Oui, oui, oui... Le truc était... Chanmé!!!
Merci aux "gens"!
Merci aux artistes,
Merci aux miens,
Merci aux autres,
MERCI!!!
;)
Ca c'est fait :)
Et c'est sincère :D
Puis, je disais, j'écrivais donc que je venais saluer une amie, une amie qui s'est arrêtée justement Samedi dernier aussi, une amie proche d'ici géographiquement parlant, puisque à Tonkin (Villeurbanne)... Je salue, et vous avec moi si vous le voulez-bien (?), la Blackline!!!
Oui, Samedi dernier, en soirée et toute la nuit, c'était la dernière de l'émission Blackline sur RCT... Snif! Snif! Et en raison de notre pendaison de crèmes, nous n'avons pas pu y aller, célébrer cet arrêt comme il se doit avec Le F.L.E.A.U., Realskool, Billyskam, Tahiti Bob et les autres, mais le coeur y était... Car la Blackline, pour celles et ceux qui ne connaissaient pas, était une émission de radio!!!
Oui, oui, oui...
Tant pis!
Comment? Les raisons de cet arrêt??? Hum... Le mieux c'est que vous le demandez directement aux auteurs de l'émission, dont les liens sont plus hauts, okay?!?
Oui, oui, oui!
Mais à part ça, les chemins sont toujours tracés, en lignes droites ou en lignes sinusoïdales ou autres encore, pour les uns et les autres... Ce n'est pas particulièrement que la vie suit son cours, mais presque.
Et pour l'ami, en particulier justement, Walkmindz aka Le F.L.E.A.U. aka Sylvain Souklaye, le chemin est toujours autant... Heuh... Autant... Heuh... Comment dire? Poétiquement arrangé (rhum?)? Politiquement dérangé (hors d'âge?)? Heuh... Fléauesque! Oui, oui, oui, voilà, c'est le terme!
Tenez, un exemple envoyé par le bonhomme (récent puisque au passage à l'an 2009) :

"Il est l'heure des voeux, moment onirique où la tradition d'usage et la pression sociale s'agenouillent devant le réflexe pavlovien du "il faut dire un truc, un truc, quelque chose, n'importe quoi".
Évidement, appartenant à la religion humaine et en bon corporatiste, je vois d'un bon oeil l'équilibre physique et psychique de mon prochain (l'inverse serait la preuve d'une certaine animalité qui n'a plus court dans nos sociétés aseptisées), si sa stabilité mentale dépend de la prospérité du compte en banque de ce même "mon prochain", j'acquiesce sans le moindre doute, et si (encore un "si", beaucoup de spéculations pour une bouteille jetée à la mer), donc et si ce même bonheur monétaire lui aussi est tenu par des obligations de pourcentage de réussite des prestations professionnelles de, devinez qui ? "mon prochain", si c'est le cas, oui par la présente et de la manière la plus solennelle, j'apporterai mon chant à celui de la meute, du groupe, du genre, des gens...
Seconde et dernière étape qui, rassurez-vous, sera plus synthétique que ma précédente digression.
Quel type de modus operandi ?
Comment choisir la bonne forme tiraillée entre le destinataire et son propre conformisme ?
1-L'humour transgressif ? Voyons, hum, à partir du moment où la scatologie et le rire communautaire ont bonne presse, passons notre chemin.
2-L'impersonnalité pragmatico-efficiente ? J'avoue ne pas baisser les bras et espérer maîtriser cette technique un jour prochain, mais mon affliction se tournant plus vers les visages que vers les noms me l'interdit.
3-L'oubli, bonne technique, qui dénote plus d'une fainéantise certaine que d'un certain choix de société.
Ne faisant ni dans la prestidigitation calomnieuse, ni dans les souhaits sans service après vente, je ne peux que proposer une hypothétique assistance dans un futur peut-être...
Bonne année 1984.
Suites à de nombreuses accolades reçues et administrées quand minuit s'est lourdement imposé, on m'a certifié que 2009 serait mieux que 2008, quelle ingratitude alors cette année précédente avait à peine tiré sa révérence.
En hommage à son talent sans égard voici mes quelques petites marques d'affection pour 2009 la nouvelle.
Pour 2009 – Contre 2008 Pour 2009, pleurez le temps de l'entracte que je vous propose et fichez moi la paix, répertoriez vos fiches de payes et laissez sur le sol vos doléances en trois exemplaires, vos perspectives sans imaginations, vos projets impersonnels, car dans le doute on ne peut miser sur l'avenir...
La suite : Depuis ma cellule de dégrisement
"

Et du coup, de cet au-revoir, mon billet en devient un conseil de lecture(s) et de visionnage(s), car Sylvain Souklaye a, des fois, des fulgurances dans ses textes que, je pense, utile à fare partager...
Oui, oui, et oui!



Le Fléau






Voici donc quelques liens du bonhomme (textes et slams) :
- La lecture des sens et le sens des lectures
- Sens des lectures et lecture des sens
Et vous pouvez aussi lire ses écrits, écouter et/ou voir ses reportages là :
- Les instants damnés du Fléau (Last Mag)
- Travaux Publics (France Culture)















Oui...
That's all folks!
Peace!!!

Publié dans Tribus

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
J
Hola mi amigo,Argh!!! Tu nous as manqué, mec! Si, si, si...:)La prochaine?Paz!!!
Répondre
B
Yo!Alors, bien passé ce sow live n directah??? J'aurais aimé me joindre a vous, mais j'étais en Espagne, le pays de mes racines, t'as vu! Bref, big up a tout le quartier!See ya!Paz
Répondre